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PSG-Real, Mbappé seul sur sa planète – Libération

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PSG-Real, Mbappé seul sur sa planète – Libération
Menés Par Leur Attaquant Weltmeister, Les Parisiens l’ont Emporté (1-0) ce Mardi Contre Madrilènes Empruntés, en Huitième de Finale de la Ligue des Champions. Spiel retour dans trois semaines.

Das letzte Finale zwischen Paris-SG und Real Madrid ist die Basis für einen Coup: Kylian Mbappé, ein Exploit-Personal in den Siegen (1:0, 93e) und die Pariser, die vor der Rückkehr nach Madrid stehen le 9 mars, une maigre récompense tant les vice-champions de France auront mis d’eux-mêmes dans une partie que les Espagnols auront semblé ne jamais diskutant, comme s’ils reflectaient ailleurs. Vers le match retour ? Vers un autre football, d’attente, dans une Ligue des Champions tout en générosité et en incandescence ? Unwunder Arbitrary, comme les Merengue les ont accumulés depuis un demi-siècle ? Ou tout simplement ne pouvaient-ils pas plus, gérant le crépuscule d’une équipe dépassée?

Göttliche Überraschung Côté Madrilène, Pourtant, à deux heures du coup d’envoi: les Français Ferland Mendy et Karim Benzema, blessés depuis des semaines, sont dans la compo des merengue. Ça change beaucoup de chooses : deux dragsters (Mendy et l’attaquant brésilien Vinicius) sur le côté gauche espagnol, choquant sur le côté faible (le droit) Parisien, et la Maison blanche retrouve son jo maître à. Une manigance formidable : le Real kommt über einen Coup d’envoi avec un élan an. Si les Parisiens marquent le coup, l’équipe espagnole gagne le match avant le match.

Benutzer leurs chaussures

Seulement voilà, ou bien Kylian Mbappé et consorts s’attendaient à cette basse manœuvre, ou bien ils s’en foutent, mais s’installent dans la partie comme dans leur salon. Les Madrilènes ist ein Passant des Milieus des Terrains und der Point Faible du Real, der Défenseur Dani Carvajal, der Joueur Fort du Paris-SG (Mbappé) ist ein Rend-Dingue. Le pauvre latéral n’en finit plus de se casser la figure, ses coéquipiers Eder Militao et Luka Modric viennent déverser des pleins seaux d’eau pour éteindre les incendies, Mendy se fait bouger à l’épaule paris Hashrafles Hakimi et Carlo Ancelotti se replacent à petits pas, comme s’ils ne voulaient pas user leurs chaussures.

C’est tellement gros que l’on finit par se demander à chaque chance parisienne (2e minute, 17e) s’il n’y a pas de ça : un plan machiavelique pour que Paris y laisse des plumes avant de ramasser les morts dans les vingt dernières minuten. Il faut visitre une demi-heure pour voir les Madrilènes poser leur premier jeu debesitz dans les quarante mètres parisiens, les Blancs s’enhardissent et ouvrent les portes à Mbappé, menaçant en contre-attaque). 0-0 aux citrons, une mi-temps comme un songe et meme un mensonge, comme si l’intox avant le match sur l’absence de Benzema perdurait dans le jeu.

Art de la Nullit

La reprise voit les Parisiens monter le pressing d’un étage, Mbappé – toujours lui – complieant le gardien Courtois à coucher ses deux meter en une fragment de seconde (un art) pour sortir une frappe en pivot (50 pas), alors que de quatre joueurs s’étaient refermés sur l’international français. Carvajal, dans le brouillard, descend Mbappé dans la surface, lequel Mbappé laisse le péno à Lionel Messi. Qui le-Rate (60e). Comme quoi, aider un ami dans le besoin…

Les joueurs parisiens prennent l’impact, les duels et les tirs (16 à 2 à vingt minutes du terme), tout ce qu’il ya à ramasser dans un match prudent, où les joueurs ont peur de tout. Le Real Intrige, Ratant des Passes à Cinq Meters, Improvisant d’étranges Toro (on se refile le Ballon en Passes Courtes) dans leur propre surface de réparation et laissant sur le terrain un Benzema manifestement loin du compte ju physiquement ou un Vinicius qui ‚ à entreprendre de se dribbler lui-même (78e). Neymar, qui s’est teint en blond, rentre, le rythme du match ne risquant pas de l’éjecter du manège.

Une frappe de Neymar excentré lèche la transversale, comme le destin d’un match que le Paris-SG aura tenu dans sa main sans jamais refermer ses doigts dessus, les Espagnols chutent au moindre frottement ou gonflent d’importille pour une file une minutes, un art de la nullité (pas de jeu, pas d’ambition) dont ils ont manqué de très peu d’imprégner le match. Parce que Mbappé est passé par là, promenant deux joueurs madrilènes (Militao et Lucas Vazquez) pour ouvrir du pied droit sa frappe zwischen jambes d’un Courtois enfin battu. On aura aussi compris que cette équipe est celle du champion du monde tricolore. Et de luis seul.

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